DE LAURENTIS
Dès la toute première note, on s'envole avec Cécile DeLaurentis, et ce, jusqu'à l'ultime seconde. Dès la deuxième note, la couleur de l'album est annoncée. C'est pur, c'est beau, c'est doux, c'est chaud, c'est volatile. Ça sent le sable frais en fin de journée d'été, ça ressemble à un sourire dans le reflet d'une vitre de bus où coule dessus la pluie froide de novembre. En tout cas, il y a un goût sucré de bien-être autour de cette jolie voix envoûtante qui invoque d'agréables sensations. Chez DE LAURENTIS (tout en majuscule), l'élégance est au rendez-vous. L'élégance musicale d'abord. Dès l'introduction surtout avec le piano, l'un des plus beaux instruments sur Terre et en quelques notes mélancolique sur une voix cristalline, le câble sentimental qui relie mes goûts à mon cœur explose sous l'impact de l'arrivée foudroyante de mélodies synthétiques. Cet EP de six titres qui sort début juin 2015 est dot