La recette est connue et toujours efficace. Dès le premier morceau, Luxembourg m'emporte dans quelque chose de doux, mélancolique, me laissant volontiers aller à la ballade. Très vite je me mets à chanter le refrain, le plaisir est intact, je retrouve le chansonnier que j'aime. A la première écoute je trouve que c'est beau, ça fait sourire mais la profondeur des paroles de ces souvenirs d'une rupture amoureuse m'atteignent après avoir écouté deux-trois fois le titre. Et puis les morceaux s’emballent avec force et beauté, comme d'habitude. Ici, Oldelaf fait parti des meubles de la maison. L'amour, l'amour, il y a de l'amour dans ce disque. L'amour tout court, mais aussi l'amour qui se barre, qui se paye des barres, l'amour qui fout le camp, celui qui s'accroche, le secret, le sincère, l'amour sous toutes ses formes. La Saint-Valentin, l'amour qui peut changer le monde ( Cœur ) la déception amoureuse, les premiers émois ( Pas a
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