One Rusty Band - Voodoo Queen
Avec son intro, Voodoo Queen rend hommage aux Béruriers Noirs, ce qui représente beaucoup pour ce duo en total DIY, un esprit punk dans une musique blues rock affirmée. Greg aux manettes se charge en même temps de chanter, de jouer de la guitare, de l’harmonica et de la batterie aux pieds. Léa, quant à elle, assure la rythmique, que ce soit à la washboard ou aux claquettes, et surtout à la danse et aux acrobaties enflammées ! Car le One Rusty Band est aussi un spectacle visuel explosif hors du temps. Le duo en met plein la vue et les oreilles !
La musique de One Rusty Band surfe entre le blues des 50s et le rock’n roll 70s. Le mélange d’instruments atypiques tels qu’une guitare cigar box et un micro téléphone pour le chant, crée ce son dirty blues rock si particulier. Voodoo Queen est une aventure du début à la fin, une comédie musicale de 53 minutes qui se vit d’une traite, passionnément à travers les Etats-Unis, des bayous de Louisiane aux déserts du grand Ouest en suivant la Reine Vaudou. Un trip vaudou intégral, «I'll Follow the Voodoo Queen, next to the Mississippi, I follow the Voodoo Queen, she shows me this tree, I make a voodoo puppet, and I make a voodoo church, I pray the Voodoo Queen,and i give her my gold peak» Le morceau instumental «Spanish Desert» vous précipitera dans un unviers Tarantinesque, dans un road trip latino effréné. Et d’enchaîner avec «I’m Lost» qui poursuivra l’aventure en déperdition dans le désert «But i'm happy, cause I've nothing to lose, Yes I'm happy, cause I need nothing.» Le personnage principal, un white trash marginal, est libre dans sa poursuite, en anarchiste, sans argent, dans son camion, mais heureux dans ses bottes («White Trash Blues»). Son aventure s’achève sur la «Road 88», «Everything is easy, on the road 88, The sky is crying, the sky is burning, And I feel so free, on the road 88». Une aventure au Blues libertaire total.
Enregistré par Grégory Garghentini et Benjamin Dacruz; marsterisé à Globe Audio (Noir Désir, The Hyènes, Eiffel...) par Alexis Bardinet.
Dossier de presse
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