BREAK MUSICAL

Apple Jelly annonce son grand retour en septembre avec son troisième album Die, Motherfucker, Die !!! dont on peut déjà apprécier le clip, et le titre hommage aux films de Russ Meyer. Le groupe lyonnais avait disparu des radars, mis à part la parenthèse Oh Boy ! en 2016. Il revient en grande forme avec ce disque au départ enregistré en 2013, et relifté aujourd'hui par Bruno Preynat pour le faire sonner plus actuel que jamais. Apple Jelly est composé de BEnn auteur et chanteur, SLip, musique et graphisme, rejoints par Fat Kick Joe, le batteur d’origine de la formation. Entre disco et indie rock, Apple Jelly aime ne pas choisir et le prouve avec Die, Motherfucker, Die !!! single irradiant, porté par des références assumées à Hot Chip et LCD Soundsystem. Réalisé par José Daniel Zuluaga, le clip de Die, Motherfucker, Die !!! a été sélectionné au Festival Berlin Music Video Awards 2020. www.facebook.com/WeareApplejelly

Le 21 Octobre 2015, Tim Aberdeen et Joe Boyle sortent du coffre d'une DeLorean après un saut temporel de 30 ans. Ils passent deux ans à chercher leur ami Marty aux quatre coins du monde, sans succès. Ils décident alors de s'installer sur Toulouse au printemps 2017, et montent un groupe, Marty Went Back, pour rallier les gens à leur cause en racontant leur histoire sur scène. L'objectif est clair, retrouver Marty et retourner en 1985. Ils sortent leur premier EP éponyme de 4 titres en février 2018 et écument la scène toulousaine au cours d’une dizaine de dates lors du DeLorean tour, aussi bien 2 dans des grandes salles (Bikini, Connexion), que dans des lieux plus intimes (Chez Germain, Le Chanpagne, Le Ravelin, Le Taquin). En septembre de la même année, le duo sort son nouvel EP 5 titres appelé FIRENDS, en hommage à son public avec qui il entretient une relation étroite, et s’exporte dans plusieurs grandes villes de France (Bordeaux, Paris, Montpellier) lors du « Social

Après avoir éveillé l'intérêt de son armée de fans avec ses quatre titres principaux (Church Of Me, Carni Days, Clock Is Running et le titre éponyme), Seasick Steve dévoile aujourd'hui son nouvel album tant attendu Love & Peace. L'album a été produit par Seasick Steve, qui a également mixé l'album avec Vance Powell (Jack White, Chris Stapleton), tandis que son compagnon de longue date, Dan Magnusson, a assuré la batterie. Seasick Steve mélange tous les ingrédients qu'il affectionne et nous livre un nouveau disque frais qui offre l'antidote parfait pour les temps troublés que nous vivons. Plein d'espoir pour l'avenir, c'est un excellent mélange de boogie, de blues, de rock, d'Americana et de folk - le tout dans son style unique. Dossier de presse 24 juillet 2020 / Contagious Records /  www.facebook.com/seasicksteve

Efficacité, simplicité, évidence, fraicheur, netteté. Il n'y a rien à jeter sur le deuxième album parfait de Café Bizarre . Vous avez entre les oreilles un genre d'album qui s'écoute seul, avec des écouteurs ou un casque, dans un train ou en sillonnant les rues, sans penser à rien mais le regard ailleurs, rêveur.  Dont Swim Tonight My Love est un joli disque enivrant, rock, mélancolique, pop, aux rythmes réguliers, aux mélodies transperçantes. Sa musique embarque l'auditeur pour l'emmener loin se perdre dans des images de rues où les façades de maisons sont en briques rouges et le ciel semble être toujours gris. Musicalement il y a ce petit côté anglais que j'aime bien. En fermant les yeux j'y trouve un peu de Pixis, de Lou Reed, de The Cure et pourtant Café Bizarre sont bel et bien de par chez nous. Les titres s'enchainent vite, tout prend à la poitrine. Une flopée de beaux morceaux qui sculptent une ambiance envoutante, à commencer par le tr

Hoze séduit instantanément dès les premières notes de Je Danse sur Les Toits, un titre porte-bonheur, avec son gimmick particulièrement entrainant. Avec son premier EP, Hoze déboule dans le paysage de la pop française avec sa gouaille, son sourire, son énergie et ses influences diverses. De sonorités orientales en gimmicks hispaniques, ses sons donnent le smile et s'avèrent un cocktail contagieux. Cet EP éponyme attendu le 15 juillet, c’est une vague de fraîcheur pop électro, avec une french touch qui interpelle même outre manche. Hoze a les oreilles grandes ouvertes, et dévoile dans sa playlist aussi bien Benjamin Biolay, que Billie Eilish ou Yungblud... Sa pop française se nourrit aussi bien des meilleurs paroliers de chez nous que des hits anglo-saxons. En tous cas, 17 min, c’est juste assez pour se dire que c’est trop court ! Mais Hoze travaille déjà sur la suite.... On n'a pas fini de danser avec elle. Dossier de presse 15 juillet 2020 / Ovni Productions /

Fenêtre ouverte pour laisser entrer la vie, fenêtre ouverte pour faire danser les poussières d'émotions, fenêtre ouverte pour voir l'horizon, fenêtre ouverte pour respirer l'espoir. Plus les minutes passent, plus le soleil prend de la place dans la pièce sombre... Et finir hardcore de passion, hardcore de vie. www.facebook.com/odezenne

Camille Bénâtre a l'art de faire chahuter les mots sur des mélodies fascinantes. Véritable voyage vers une pop/folk clinquante, où se mélangent paradoxalement des textes pas si réjouissants que ça.  Après le soir est ce genre d'album qui vous maintient en éveil, vous fait sourire, vous fait plonger dans le reflet de votre quotidien, puis vous enlace, délicatement. Il cite que "le désespoir est une manière d'être moins triste". Ces mots de la poétesse argentine Silvina Ocampo définissent bien l'univers du chanteur toulousain. Dans ce nouvel album, je découvre un artiste qui manie la langue de Molière avec talent, dans un cocktail de mélodies entrainantes, d'où se dégage un soupçon de mélancolie, d'espoir, d'enthousiasme. Ses chansons parlent de jalousie, de frustration, de regrets tout en gardant une énergie contagieuse. On y trouve également une merveilleuse reprise de William Sheller ( Les miroirs dans la boue ). Après le soir s'ouv

La chanteuse franco-iranienne Ariana Vafadari a composé chaque morceau de l’album Anahita à partir des maqams ou gammes orientales. Il en découle une musique qui vibre en permanence entre ses fondements mystiques orientaux et son pendant lyrique occidental. Ariana Vafadari et ses musiciens poussent sans cesse les frontières musicales. Tout au long de l’album, Ariana Vafadari est accompagnée de Julien Carton au piano et aux arrangements, de Driss El Maloumi à l’ud, de Leïla Soldevila à la basse, et d’Habib Meftah Boushehri aux percussions. Totalement en lien avec leurs origines culturelles et musicales, les musiciens ont été formés par la musique traditionnelle iranienne, ottomane, marocaine, par le jazz, la musique classique occidentale ou l’opéra, dans leurs improvisations et la pratique de leurs instruments, ils passent librement d’un univers à l’autre. Anahita, s’inspire de l’histoire de la déesse iranienne des eaux, de la fécondité, des peuples et des vivants. Ce conte o

Celui qui a une voix qui s’équilibre entre Ray Charles et Van Morrison et qui continue de sortie des disques à un rythme soutenu (Holly EN 2014, Never Twice en 2016, Nick Waterhouse en 2019 et maintenant Live At Pappy & Harriet’s) continue d’étendre sa vision au-delà de sa propre carrière en collaborant avec des amis comme Ty Segall ou entre Leon Bridges. Il aussi produit quelques albums de ses amis de longues dates : Allah-Lah. Live at Pappy & Harriet’s est arrivé immédiatement après une longue et intense tournée européenne mais aussi un moment où Nick Waterhouse a tout remis en question. Cet album reflète le travail d’un artiste qui a vu certaines choses. Il a étudié, il a composé, il est réceptif, il est libre, et il a appris à connaître sa propre pratique artistique d’une manière qui apparaît fougeuse et brute su ce disque live enregistré dans sa ville natale. Dossier de presse 24 juillet / Innovative Leisure /  www.facebook.com/nickwaterhousemusic