Olivier Marois - Tu Sauras pas quoi faire de moi (2024)
Coup de cœur de ces jours-ci.
Il y a quelque chose d'addictif chez Olivier Marois que je ne peux pas expliquer. Mars, je reçois l'album, je l'écouterai dans quelques semaines. Jour J, c'est son tour. Le premier morceau Tu sauras pas quoi faire de moi me promet un nouveau souffle et un air de poésie que je prends avec plaisir. Sans artifices, sans faux-semblants, un univers subtile, quelques petites secondes de ce premier titre éponyme, et il m'a mis dans sa poche direct, illico presto j'embarque dès les premières notes, dès les premiers mots, le chant séduisant. Sans la moindre résistance. Du rock-pop aéré où tout semble léger dans un monde chaotique. Explique moi la vie, le chanteur/songwriter Olivier Marois nous montre l’artiste sonore qu'il est, un poète musical, au détail solennel, absolument tout pour plaire, des chansons pour flâner, pour voler, pour cogner les tourments. Moi ça me plait comme programme. Je me laisse voguer sur Le temps des reproches, musicalement enivrant, petit plaisir après le boulot pour décompresser, casque sur les oreilles, assis dans le train. J'observe le paysage et j'écoute Olivier Marois. C'est pour qu'on s'aime est également captivant, et nous ramène à une ambiance épurée qui caractérise si bien ce dernier album. Et même si les thèmes explorés sont l'amour et les inquiétudes, les tensions, les questionnements, les émerveillements qu'ils procurent, une piste comme Sex Friend (qui me fait penser à Jean Leloup) m'offre un vent d'enthousiasme qui fait du bien à la tête. En vérité, il n’y a pas de raison de se sentir lourd après l’écoute de l'album. Tout est frais. Si ça reste en touriste ça rentre par les pores de la peau jusqu'à vous secouer les dopamines. On ne reste pas coincé dans une bulle de tranquillité, elle peut éclater par certains titres où les guitares s'émoussent et les rythmes frétillent dans une pop dansante et enjouée, enflammée (Baby Lou). Ce qui donne l’impression de ne pas faire du surplace. La croisée et sa mélodie flegmatique est bouleversante surtout quand ces chœurs arrivent de nulle part sans prévenir. D'ailleurs il en abuse sur l'ensemble des titres, mais ils sont bienvenus car ils s’agrippent aux cœurs pour les tirer vers le ciel bleu.
Terre brûlée achève l'écoute, m'achève aussi. La musique sonne ici comme une évidence, elle résume l'excellence qui à parcourir cet album.
Il y a quelque chose d'addictif chez Olivier Marois que je ne peux pas expliquer. Mars, je reçois l'album, je l'écouterai dans quelques semaines. Jour J, c'est son tour. Le premier morceau Tu sauras pas quoi faire de moi me promet un nouveau souffle et un air de poésie que je prends avec plaisir. Sans artifices, sans faux-semblants, un univers subtile, quelques petites secondes de ce premier titre éponyme, et il m'a mis dans sa poche direct, illico presto j'embarque dès les premières notes, dès les premiers mots, le chant séduisant. Sans la moindre résistance. Du rock-pop aéré où tout semble léger dans un monde chaotique. Explique moi la vie, le chanteur/songwriter Olivier Marois nous montre l’artiste sonore qu'il est, un poète musical, au détail solennel, absolument tout pour plaire, des chansons pour flâner, pour voler, pour cogner les tourments. Moi ça me plait comme programme. Je me laisse voguer sur Le temps des reproches, musicalement enivrant, petit plaisir après le boulot pour décompresser, casque sur les oreilles, assis dans le train. J'observe le paysage et j'écoute Olivier Marois. C'est pour qu'on s'aime est également captivant, et nous ramène à une ambiance épurée qui caractérise si bien ce dernier album. Et même si les thèmes explorés sont l'amour et les inquiétudes, les tensions, les questionnements, les émerveillements qu'ils procurent, une piste comme Sex Friend (qui me fait penser à Jean Leloup) m'offre un vent d'enthousiasme qui fait du bien à la tête. En vérité, il n’y a pas de raison de se sentir lourd après l’écoute de l'album. Tout est frais. Si ça reste en touriste ça rentre par les pores de la peau jusqu'à vous secouer les dopamines. On ne reste pas coincé dans une bulle de tranquillité, elle peut éclater par certains titres où les guitares s'émoussent et les rythmes frétillent dans une pop dansante et enjouée, enflammée (Baby Lou). Ce qui donne l’impression de ne pas faire du surplace. La croisée et sa mélodie flegmatique est bouleversante surtout quand ces chœurs arrivent de nulle part sans prévenir. D'ailleurs il en abuse sur l'ensemble des titres, mais ils sont bienvenus car ils s’agrippent aux cœurs pour les tirer vers le ciel bleu.
Terre brûlée achève l'écoute, m'achève aussi. La musique sonne ici comme une évidence, elle résume l'excellence qui à parcourir cet album.
Tracklist
01 - Tu sauras pas quoi faire de moi
02 - Explique moi la vie
03 - Le temps des reproches
04 - C'est pour qu'on s'aime
05 - Babylou
06 - La croisée
07 - J'veux pas qu'on m'oublie
08 - Sex Friend
09 - Si ça reste en touriste
10 - Terre brûlée
16 février 2024
Roy Music
www.roymusic.com/olivier-marois
www.facebook.com/OlivierMaroisMusic
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