Orange Blossom / Under the shade of violets
Que dire sur l'effet Orange Blossom ? Surtout comment expliquer avec les bons mots cette incroyable foudre musicale que j'ai reçu en pleine face ? Je glisse dans mon lecteur le nouvel album d'un groupe dont le nom m'est totalement inconnu. Le style orientale n'étant pas trop trop ma tasse de thé, je me lance quand même par curiosité et pour tenir mes engagements de chroniqueur. Après tout, mon droit de ne pas aimer est également respectable... La première chanson "Ommaty" débute, et mon attention se retrouve en un dixième de seconde prisonnière d'une voix si envoûtante, d'une mélodie puisée dans le flottement d'un coucher de soleil sur des dunes de sables, je ne sais pas, mais je me vois partir, les yeux fermés, mon âme tout entière guidée, ensorcelée par la chanteuse Hend Ahmed, par la grâce du piano, par la fougues des cordes, par l'élégance électrique. C'est extrêmement puissant. C'est extrêmement beau. Je pourrais en devenir grossier tellement c'est...
L'invitation acceptée avec réjouissance je plonge dans le reste de l'album, savant mélange de mélodies et de sections rythmiques, entre Orient et Occident, entre ici et là-bas, entre nulle part et partout. La deuxième piste "Lost" me fait définitivement être ailleurs. Je pense alors avoir déjà entendu le meilleur parmi les deux premiers titres, ce qui est le cas sans aucun doute, mais que dire de "Ya Sidi" ? Écoutez donc, jugez-en par vous-même. Non pardon, laissez-vous plutôt glisser dans cette sorte de vibration musicale, ce rendez-vous émotionnel difficilement explicable mais vraiment délicieux. Pour les frissons le niveau monte encore d'un cran avec le crescendo "Pitcha" pour atteindre quelque chose de très glamour sur "Mexico" avec son effet James Bond version Sean Connery où les trompettes épousent les violons d'une façon si sensuelle qu'ils rappellent ces génériques de films d'une époque où le romantisme existait dans les moindres détails.
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Et si vous n'êtes toujours pas convaincu par la musique orientale, ce n'est pas important. "The Nubian" va vous décoiffer violemment tout comme "Pink Man", parce qu'Orange Blossom ça se range aussi dans la catégorie Rock. Pas loin de Spicy Box et de No One Is Innocent.
La magie du quatrième art c'est de voir qu'il existe des projets comme Orange Blossom impulsé par Carlos Robles Arenas et PJ Chabot, qui ont su neuf ans après leur dernier album utiliser le temps pour eux. Le temps de voyager pour découvrir de nouveaux sons entre la Jordanie et la France, en passant par l’Égypte ou encore le Mexique. Le temps de faire des rencontres comme essence artistique. Le temps de créer pour rester authentique. Le temps pour éviter les horreurs de l'urgence, et franchement on adore ça !
L'album est prévu pour le 29 septembre 2014,
la rentrée s'annonce donc assurément exceptionnelle. On vous le jure !
L'invitation acceptée avec réjouissance je plonge dans le reste de l'album, savant mélange de mélodies et de sections rythmiques, entre Orient et Occident, entre ici et là-bas, entre nulle part et partout. La deuxième piste "Lost" me fait définitivement être ailleurs. Je pense alors avoir déjà entendu le meilleur parmi les deux premiers titres, ce qui est le cas sans aucun doute, mais que dire de "Ya Sidi" ? Écoutez donc, jugez-en par vous-même. Non pardon, laissez-vous plutôt glisser dans cette sorte de vibration musicale, ce rendez-vous émotionnel difficilement explicable mais vraiment délicieux. Pour les frissons le niveau monte encore d'un cran avec le crescendo "Pitcha" pour atteindre quelque chose de très glamour sur "Mexico" avec son effet James Bond version Sean Connery où les trompettes épousent les violons d'une façon si sensuelle qu'ils rappellent ces génériques de films d'une époque où le romantisme existait dans les moindres détails.
Et si vous n'êtes toujours pas convaincu par la musique orientale, ce n'est pas important. "The Nubian" va vous décoiffer violemment tout comme "Pink Man", parce qu'Orange Blossom ça se range aussi dans la catégorie Rock. Pas loin de Spicy Box et de No One Is Innocent.
La magie du quatrième art c'est de voir qu'il existe des projets comme Orange Blossom impulsé par Carlos Robles Arenas et PJ Chabot, qui ont su neuf ans après leur dernier album utiliser le temps pour eux. Le temps de voyager pour découvrir de nouveaux sons entre la Jordanie et la France, en passant par l’Égypte ou encore le Mexique. Le temps de faire des rencontres comme essence artistique. Le temps de créer pour rester authentique. Le temps pour éviter les horreurs de l'urgence, et franchement on adore ça !
L'album est prévu pour le 29 septembre 2014,
la rentrée s'annonce donc assurément exceptionnelle. On vous le jure !
1- Ommaty
2- Lost
3- Ya Sidi
4- Pitcha
5- Jerusalem
6- Good Bye Kô
7- Mexico
8- The Nubian
9- Black Box
10- Pink Man
11- Aqua
2- Lost
3- Ya Sidi
4- Pitcha
5- Jerusalem
6- Good Bye Kô
7- Mexico
8- The Nubian
9- Black Box
10- Pink Man
11- Aqua
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